La Vie.
Bonjour,
Aujourd'hui, j'ai l'intention de vous faire part de ce qui me ronge depuis toujours, il s'agit bien entendu de La Vie, La Société...
C'est certainement une manière philosophique pour moi de vous raconter ce que je considère comme terrible.
Depuis longtemps, les hommes et les femmes naissent au sein d'une famille, ayant pour buts de faire le bonheur d'un couple, de réaliser des rêves, voir même d'avoir une meilleure vie que leurs parents. Seulement voilà, pour moi la triste réalité c'est que rare sont ces femmes et ces hommes qui ont réussit à réaliser leurs rêves (Parfois trop difficile à atteindre). Trop souvent, les enfants se retrouvent soit pire que leurs parents, soit mieux.
Entendons nous bien, dans la société dans laquelle nous sommes n'etais-ce pas un tantinet égoïste de faire des enfants ? Pour ne penser qu'à son petit bonheur et imaginer un bonheur dont on ignore l'existance pour ce petit être ?
Ne voyez-vous pas qu'autour de vous, des milliers de personnes sont S.D.F, chercheurs d'emplois, malheureux, misécordieux ?
Que certains se tuent à la tâche afin de survivre tandis que d'autres se passent la corde au cou ?
La société nous fait croire que tout est rose, que le pouvoir d'achat c'est bien, que nous sommes tous égaux.... Mais est-ce vraiment la vérité selon vous?
On s'arrange pour mettre ces personnes à l'écart, pour se donner bonne conscience ! Pourtant, on t-elle eut le choix de venir au monde tout comme vous ?
Je suis sidéré de voir qu'à l'heure actuelle, tout ce qui intéresse les parents du jeune adolescent c'est qu'il se trouve un travail pour son indépendence (soit disant) alors que ce jeune n'est même pas prêt, il sort tout juste de l'oeuf, il n'a aucune idée des souffrances qu'il croisera sur son chemin. Les parents ne parlent jamais des souffrances aux enfants, comme s'ils devaient le découvrir d'eux-même... Et ensuite à d'innombrables échecs répétés, il y a des menaces, certains jeunes se retrouvent dans la rue, sans pouvoir se trouver un toit.
Nous avons toujours évolué dans une société malade. Avide de pouvoir et d'orgueil. Le slogan "Marche ou crève" colle comme un gant à celle-ci. Personne ne s'en plaint, sauf à la maison... Parce qu'au travail, vous devez garder vos émotions et vos revendications pour vous. Parce que tout le monde s'en fiche que vous soyez malheureux. Dans une paire d'année, je ne serais pas étonnée de voir des hommes sans sentiments, vivant ici seulement pour travailler avec archarnement. Pour la société mais encore pour l'Argent.
L'argent, si tu n'en a pas, tu n'es rien. L'argent, tu crèveras sans. Il domine des milliards d'invidus, mets a genoux des millions de famille. Le coût de la vie augmente, mais pas les salaires. Trouvez-vous qu'une société qui n'offre même pas de quoi se nourir correctement est juste ?
Pour 40 €, j'ai à peine une dixaine d'articles. Qu'adviendras-til dans plusieurs années ? Toutes ces questions auxquelles j'y constate la dégradation. La vérité c'est que je n'ai que rarement vu une famille très heureuse sans avoir beaucoup d'argent. Il y a toujours cette pression, ce stress, cette boule au ventre et ces pensées qui nous empêchent de dormir. On se dit qu'on peut râter sa vie, juste en loupant une étape.
Je suis très triste, certains diront "pessimiste, défaitiste" mais pourtant... je dis la vérité. J'ai intérrogé des dixaines de personnes de tout âge, allant de 20 à 40 ans. Et tous sont d'accord avec cela.
Je pense que jamais je n'aurais d'enfant. La raison ? Je ne veux pas qu'il ou elle soit malheureux à cause de moi, en sachant très bien comment est la société, et je ne veux pas faire subir a mon enfant un lavage de cerveau, comme quoi la vie est ainsi et qu'elle se doit d'être comme tout le monde. Personnellement, je ne suis pas à la dérive, j'ai une famille qui a les pieds sur terre, qui gagne a priori très bien sa vie, et pourtant, je suis malheureuse. En fait, que j'ai énormément de biens matériels ou non, ça ne change rien à ma mélancolie. Je n'aime pas cette société, je n'aime pas ressemblé à un zombie tout les soirs après le boulot. Je n'aime pas non plus ne plus avoir de vie sociale en dehors de ça, et de devoir m'épuiser considérablement pour quelque chose que je n'aime pas spécialement, que je n'ai pas choisit, qui est inscrit dans l'histoire de ce monde.
A méditer. :)